Les dernières études des économistes montrent que le marché de travail en France est particulièrement touché par les problèmes à l’embauche liés au conséquences du COVID-19. Le grand nombre d’entreprises du secteur de la construction et de l’industrie ont plus que jamais du mal à recruter le personnel.
Les chantiers se mettent alors progressivement à l’arrêt en raison du manque des ouvriers.
Les entreprises réalisent des travaux contractés encore avant la pandémie. Ils ont pu être stoppé, ralentis mais sont bel et bien là. Malgré les difficultés, les constructions doivent être finies selon les conditions contractuelles.
C’est donc quasiment sûr que les entreprises françaises ont subi une perte de revenus de l’ordre de milliards d’euros. En ce contexte de crise exceptionnelle, l’accumulation des problèmes mène l’Ètat à affronter l’accélération des défaillances d’entreprises.
Malheureusement, d’après la nouvelle étude cette situation continue à s’aggraver constamment, car le nombre de faillites va passer à 50 000 en 2021 puis 60 500 en 2022.
La solution qui semble constituer au moins le remède partiel en matière du personnel est la délégation des travailleurs étrangers tels que les auto-preneurs qui renforcent les équipes en permettant d’achever les investissements et les projets retardés ou même d’éviter les annulations.
